Café Morel / L’Alcazar d'été (5 avenue Gabriel, dans les jardins des Champs-Élysées)
Champs-Elysées. - Chanteurs devant le café Morel. L’Illustration, journal universel. 1846 Musée Carnavalet, Histoire de Paris
1841 : Ancien Café Morel (ou Chalet Morel ou Café du Midi) construit dans l’esprit des constructions antiques. Morel, propriétaire du "Pavillon du Midi", un kiosque à musique situé en face du café des Ambassadeurs, va donner l'été, des concerts-chantants, on appela l'endroit le Café Morel. Des tables disposées tout autour permettaient de servir la clientèle Le succès fut tel, qu'il fit construire (en 1841) un grand café pour concurrencer "les Ambassadeurs" et prit le nom d'Alcazar d'été qui éclipsa toutes les autres enseignes des Champs-Élysées.
1860 : Racheté par Arsène Goubert, déjà propriétaire de l'Alcazar de la rue du Faubourg-Poissonnière, qui lui donne le surnom d’Alcazar d'été (tandis que celui du Faubourg-Poissonnière devient l'Alcazar d'hiver).
1905 - 1906 : Le lieu est agrandi et rénové.
1914-1818 : La guerre met fin à son exploitation, La Croix-Rouge s'en sert comme dépôt. 1918 : Transformé en skating (patinoire) et, peu après, en palais de danse.
1920 : Fermeture et demeure inoccupé jusqu'à la Seconde Guerre Mondiale.
1939 - 1945 : La Croix-Rouge (encore une fois) s'en sert comme dépôt.
1950 : Complètement transformé, il porte aujourd'hui le nom de Pavillon Gabriel
1970 : Le traiteur parisien Potel & Chabot acquiert et restaure le pavillon alors en mauvais état pour en faire un lieu de réception.
1979 – 1981 : David Niles installe une discothèque dans le studio qu'il a créé. Le lieu est donc utilisé comme studio le jour et comme dancing la nuit.
1982 : L'émission Champs-Élysées est lancée avec comme animateur Michel Drucker. L'émission est tournée en direct à l'Espace Pierre Cardin, bâtiment voisin du pavillon de Potel & Chabot.
Le café-concert l'Alcazar d'Eté, avenue des Champs-Elysées,façade et jardin, 8ème arrondissement, Paris. Lansiaux, Charles Joseph Antoine, Photographe. Musée Carnavalet, Histoire de Paris
(10, Rue du Faubourg Poissonnière, 10e)
1858 : L'Alcazar d'Hiver est inauguré par Jacques Offenbach. Il devient rapidement un lieu populaire pour les spectacles musicaux, les opérettes et les comédies. Le lieu est d'abord dirigé par le chanteur Joseph Mayer sous le nom d'Alcazar lyrique
1862 : Le célèbre compositeur et chef d'orchestre Jules Pasdeloup reprend la direction musicale de l'Alcazar d'Hiver, apportant une programmation éclectique qui comprend des concerts symphoniques.
1870 à 1871 : Fermeture 1871 : Pendant la Commune de Paris, l'Alcazar d'Hiver est incendié. Cependant, il est reconstruit peu de temps après.
1890 : il ferme ses portes pour ouvrir sous le nom de Théâtre Moderne
1893 : Il ré-ouvre sous le nom d'Alcazar
1894 : Le lieu est repris par Léon Volterra, qui le modernise et le rénove. 1896 : Change de nom : Petit Théâtre Français
1896 : Ferme définitivement ses portes
1902 : Sa façade reste en place jusqu’à cette année, où elle est démolie pour laisser place à des bureaux
Compagnie générale de travaux d'éclairage et de force (Paris). Producteur d'un fonds. Fonds Clémançon. II. Archives photographiques. Vues d'ensemble des salles de spectacles. Théâtres, cinémas et autres établissements situés à Paris. Alcazar. Façade. 1900-1961. Source gallica.bnf.fr / BnF
Alcazar d'Hiver. 10 faubourg Poissonnière... Spectacle - Concert... : Affiche non identifié. 1876. Source gallica.bnf.fr / BnF
Alcazar du Champs de Mars - 72, Avenue du Suffren, 7e.
1900 à 1922. (Très peu d’information concernant ce lieu) Devient un restaurant, la Taverne Internationale, (caveau style Munich des Frères Springer)
Aujourd'hui : immeuble résidentiel (72 & 74 avenue de Suffren)
Note carte postale : Taverne Internationale Springer – Restaurant Caveau C’était le rendez-vous de toutes les nations, on trouvait presque tous les journaux du monde à la Taverne Internationale Springer. On dinait, mais on soupait surtout chez Springer, les prix étaient les mêmes la nuit que le Jour et la bière de Munich était délicieuse…!
Le Bataclan : Ouvert en 1864, au 50 boulevard Voltaire à Paris, il a d'abord été un café-concert avant de devenir une salle de spectacle polyvalente.
1864 : Construction en forme de pagode chinoise par l'architecte Charles Duval, le directeur, qui avait été évidemment influencé par les récits de la campagne de Chine, n'était autre que l'ancien patron du Géant, incendié en 1863, le sieur Pâris. Il s'appelait à l'origine Le Grand Café Chinois-Théâtre Ba-ta-clan Le nom "Bataclan" est inspiré d'une opérette d'Offenbach intitulée "Ba-ta-clan", qui était populaire à l'époque.
1905 : La salle est presque exclusivement consacrée à des revues.
1917 : Mistinguett et Maurice Chevalier s’y produisent.
Café-concert Bataclan, opérette gaie, "Titin", façade sur rue, 50 boulevard Voltaire, 11ème arrondissement, Paris. 20 octobre 1920. Lansiaux, Charles Joseph Antoine, Photographe. Musée Carnavalet, Histoire de Paris.
1926 : Fermeture.
1932 : Cinéma. 1969 : Abandonné.
1971 : Réouverture, sous le nom Le Bataclan en tant que salle de spectacle : folklore, soirées typiques avec orchestre, dancing et concerts rock.
2015 (13 novembre) : Le lieu est endeuillé par un attentat au très grave au lourd bilan : 90 morts et des centaines de blessés.
Aujourd'hui : salle de spectacles
Ba-Ta-Clan, 50 boul[evar]d Voltaire, Paris. L'Athlète "L'Incroyable 2200". Tous les soirs... 1890. Bibliothèque nationale de France, département Estampes et photographie
1831 : Le bal Mabille était un établissement de danse (bal d’été) fondé par un professeur de danse du faubourg Saint-Honoré, Mabille père, sur l'actuelle avenue Montaigne à l'époque presque champêtre. Il ouvre sous le nom de Jardin Mabille. Il était situé Rue de Beaujolais, vers le rond-point des Champs-Élysées, adresse qui correspond aujourd'hui entre les numéros 49 et 53. Installé dans un jardin d’environ mille mètres carrés de surface, il disposait d’un abri, coiffé d’un chapeau chinois en son centre. C’était là que s’installait son orchestre. Autour, un grand cercle permettait de danser. Parmi ces dames, se glissaient de nombreuses lorettes, les célèbres prostituées vivant à proximité de Notre Dame de Lorette. Mademoiselle de Pomaré, dite Brin d’amour, était la reine du Bal Mabille.
Bal Mabille.Dessin. 18... Source gallica.bnf.fr / BnF
1844 : les fils Mabille en font un jardin "enchanté". Il ouvre tous les soirs grâce à ces becs de gaz (3 000 en tout !), à cette époque, le Ranelagh excepté, les jardins disgracieux et les salles enfumées n'étaient guère éclairés que par de modestes quinquets suspendus au
plafond ou accrochés aux arbres. Le bal Mabille était réservé, en raison du prix d'entrée, à des personnes assez aisées 1870 : fut frappé par deux obus lors du siège de Paris.
1875 : Fermeture
1882 : Démolition (
Les Mémoires du Bal Mabille. Paris Chez tous les libraires. 1864)
Les imprimés de danse du Charivari (entre 1833 – 1869) Bibliothèque publique de New York
1904 : Création du Bal Tabarin par le compositeur et chef d'orchestre Auguste Bosc était situé au 36, rue Victor-Massé. Ce nom de Tabarin provient d'un comédien et bateleur de foire, Antoine Girard, surnommé Tabarin, actif à Paris au début du XVIIe siècle. Un lieu ‘d'art et de plaisir’, où le Tout-Paris se précipite pour danser et participer à des bals costumés. On y assiste même à des combats de boxe féminins, des batailles de fleurs, des courses de rats et des concours du plus beau postérieur ! Le Tabarin est aussi le temple des danses fantaisistes, voire coquines comme la Tabarinette ou la Croupionette… Des frivolités qui ravissaient les bourgeois qui venaient s'encanailler à Pigalle.
1915 : Suite à l’incendie du Moulin Rouge, les fameuses danseuses du French Cancan se retrouvent au Bal Tabarin, puis transformé en skating (patinage)
1930 : Joséphine Baker se produit sur la scène du Tabarin
1933 : On y présente des revues et divers spectacles jusqu'en 1953.
1938 : Jacques Tati qui y fait ses débuts, en tant que mime.
1940 à 1944 : Dans les débuts de l'Occupation, le bal est fermé, mais on y offre la soupe aux artistes sans travail. L'établissement est très fréquenté par les officiers de la Wehrmacht.
1949 : Rachat par les frères Clerico, propriétaires du Moulin Rouge.
1953 : Fermeture
1966 : Remplacé par un immeuble
1966 (?) : Le bâtiment est détruit, pour être remplacé par un immeuble et un supermarché
Aujourd'hui : immeuble résidentiel Il y avait à l'origine au 58 rue Pigalle un cabaret, le Tréteau de Tabarin, fondé en 1895, puis en 1899 le Tréteau de Tabarin, va péricliter et faire faillite.
Compagnie générale de travaux d'éclairage et de force (Paris). Producteur d'un fonds. Fonds Clémançon. II. Archives photographiques. Vues d'ensemble des salles de spectacles. Théâtres, cinémas et autres établissements situés à Paris. Bal Tabarin, rue Victor Massé. Façade. 1900-1961. Source gallica.bnf.fr / BnF
Fête costumée au Bal Tabarin, au bénéfice de l'oeuvre de la maison de retraite des artistes de music-hall, le 7 mai 1908. Photographie de presse. Agence Rol. Source gallica.bnf.fr / BnF
Salle du Tabarin à 2 heures du matin. Photographie de presse. Agence Rol. 1908. Source gallica.bnf.fr / BnF.
La Bodinière, 18, Rue Saint-Lazare, 9e.
1886 : Charles Bodinier (1844-1911) propose l'idée de créer un petit théâtre où les élèves du Conservatoire pourraient mettre en scène des œuvres classiques. Cette proposition est bien accueillie par le Ministère des Beaux-Arts. Charles Bodinier était une figure importante du monde théâtral, ayant été secrétaire général de la Comédie-Française de 1882 à 1889
Bodinier. Sociétaire de la Comédie Française. Atelier Nadar. 1900. Source gallica.bnf.fr / BnF.
1887 : Le Théâtre d'Application ouvre ses portes dans un ancien atelier de tanneur au 18, rue Saint-Lazare. Il est destiné à être utilisé par les étudiants du Conservatoire de Paris.
1888 : Charles Bodinier en devient le directeur. L'objectif initial du théâtre évolue. Bien que le nom officiel initial soit "Théâtre d'Application", le public et les artistes ont rapidement commencé à l'appeler "La Bodinière" en référence à Charles Bodinier, qui avait créé et dirigé l'établissement. C'était une pratique courante à l'époque de donner à des lieux, notamment des théâtres ou des établissements culturels, le nom de leur fondateur ou d'une personnalité marquante associée à leur création.
À partir de 1891 : la célèbre chanteuse Yvette Guilbert se produit régulièrement à La Bodinière. Sa présence contribue grandement à la popularité du lieu.
A la Bodinière, 18 rue St Lazare. Exposition des oeuvres de Melle Verboeckoven et de MM. Lavau, Liot et E. Mesplès. Du 20 janvier au 20 février 1896. Affiche Paul Eugène Mesples. 1896. Source gallica.bnf.fr / BnF
À partir de 1894, La Bodinière ouvre ses portes aux expositions d'artistes plasticiens. Des peintures, dessins, gravures, lithographies et photographies y sont exposés et mis en vente dans le hall et les couloirs du théâtre
A la Bodinière... Exposition de l'oeuvre dessiné et peint de Théophile Alexandre Steinlen (1859-1923). Illustrateur. Du 10 avril au 15 mai 1894. Affiche. 1894. Source gallica.bnf.fr / BnF
1901 (septembre) : Devient le Théâtre des Arts
1902 (octobre) : Devient le Théâtre d'Art international créé par Georges Lieussou et Armand Bour
1903 (octobre) : Devient La Nouvelle Comédie fondée par Léon Santin rapidement remplacé par Lucien Mayrargue.
1904 : La salle prend le nom de Funambules sous la direction de Désiré Gouget mais l'expérience s'arrête au bout de trois mois. (pas de rapport avec le théâtre des Funambules, boulevard du Temple, bâti en 1816 et démoli en 1862) Les frères Mévisto, Auguste et Jules, reprennent alors le théâtre jusqu'à sa fermeture définitive
1909 (mai) : Fermeture
Aujourd'hui : commerce & appartements
Tournée de La Bodinière... Melle Milly-Meyer des Bouffes-Parisiens. Chansons en crinoline. 1901. Charles Léandre (1862-1934). Illustrateur. Source gallica.bnf.fr / BnF
Le Bœuf sur le Toit, 28, Rue Boissy d’Anglas, 8e Paris
1922 (10 janvier) : Inauguration de la salle de music-hall associée à un restaurant. La Gaya, un bar situé au 17, rue Duphot appartenant à Louis Moyses. La présence de Cocteau et de son cercle rendit La Gaya très populaire et, lorsque Moyses transféra, en décembre 1921, son bar au 28, rue Boissy-d'Anglas, il le renomma Le Bœuf sur le toit, Le Bœuf sur le toit a déménagé à plusieurs reprises depuis sa création, toujours dans le même quartier :
1927 : Déménagement au 21, rue Boissy-d’Anglas
1927 : Déménagement au 28, rue Boissy-d’Anglas
1928 : Déménagement au 33, rue Boissy-d’Anglas
1928 : Déménagement au 26, rue de Penthièvre
1936 : Déménagement au 43, bis de l’avenue Pierre-Ier-de-Serbie
1941 : Déménagement au 34, rue du Colisée, où il se trouve toujours actuellement.
Le Bœuf sur le toit fut notamment le lieu de rendez-vous de Jean Cocteau et de l’intelligentsia parisienne de l’entre-deux-guerres. On y voyait Dior, Chanel, Picabia, Picasso, Satie et plus tard, Trenet ou Ferré.
Aujourd'hui : Restaurant - Music Hall
Faire un bœuf Comme Paris était avant tout la ville du jazz, les musiciens de jazz des autres clubs de Paris se présentaient après leurs heures au Bœuf sur le toit pour jouer jusqu’à tard dans la nuit. De là vient l’expression ‘faire un bœuf’ pour désigner une rencontre informelle entre musiciens qui jouent leur répertoire de manière décontractée.
Doucet jouant au Boeuf sur le toit. 1922-1930. Dessin Pierre Payen. (1902-1944).. Source gallica.bnf.fr / BnF
Bijou-Concert, 11 rue du Faubourg Poissonnière. Paris
Bijou-Concert / Palais des Glaces, 37 Rue du Faubourg du Temple, 10e Paris
1876 (1877 ?) : Ouverture de la première salle, 11, rue du Faubourg Poissonnière, Alors nommé Boléro Star (Boléro Star Bijou Concert) présente des pièces populaires Le Boléro Star, dont les différents directeurs avaient en général, plus affaire avec le Tribunal de commerce qu'avec les spectateurs.
Boléro-Star. 11, faubourg Poissonnière. Affiche identifiée. 1877. Source gallica.bnf.fr / BnF
1879 : Le lieux à probablement était repris (acheté ou loué) par Thomas Holden en s’appelant le Théâtre Thomas Holden (1879-1880)
Holdens. Theatre thomas holden. Ancien bolero-star. 11, faubourg-poissonnière, 11. Tous les soirs, à 8 heures. Grande représentation. La belle et la bête. Pantomime-féerie en 24 tableaux. Dessinateur-lithographe : J. Upton Typographie Morris père et fils, Imprimeur Entre 1880 et 1900 Musée Carnavalet, Histoire de Paris
1882 : Changement de nom : Bijou-Concert
1891 : un second Bijou-Concert ouvre ses portes rue du Faubourg-du-Temple, 10e Paris. Après avoir présenté des spectacles de music-hall pendant presque dix ans, se transformer en théâtre (Bijou-Théâtre ?!)
1891 – 1894 : Albert Schrmeck, spécialiste du caf-conc, assure la direction avant d'aller fonder les "Folies Saint Antoine" dans le Xe arrondissement.
1895 : Paul Ruez, appelé à de hautes destinées, cède la place à Georges Wacquez qui, pendant les deux années de son premier mandat, fait créer dix-huit pièces, en plus de la traditionnelle partie concert. Plusieurs directions se succèdent ensuite.
1900 ou 1901 : Fermeture
1903 : Ré ouverture sous le nom de Bijou Théâtre, qui ne présentera que des oeuvres dramatiques durant un peu plus d'une saison
1904 : Une ancienne comédienne du "Gymnase", Lucienne Wekins, fait d'importants travaux de restauration et rouvre à l'enseigne du "Bijou Théâtre". L'affiche était composée de reprises d'anciens succès de boulevard (dont le célèbre "Maître de Forges" de Georges Ohnet). Le public ne suit pas et Madame Wekins, découragée, renonce.
1905 : Albert Schrameck reprend la direction et revient au concert. Le "Bijou" retrouve pour une courte période un peu de sa vogue d'antan. Au mois d'octobre de la même année, l'artiste Georges Cellier effectue la réouverture. Il tient dix-huit mois. Commence alors une valse infernale de directions (près de 10 en 5 ans !).
1912 : Depuis l'apparition du cinématographe, les salles doivent s'adapter au goût du public. Après six mois de fermeture, le "Bijou" cinéma concert ouvre ses portes. Les tours de chant partagent l'affiche avec les films muets.
Bijou-Concert, 11 rue du Faubourg Poissonière. Mme Sibelli, Fortunée. Affiche non signée. 1880. Source gallica.bnf.fr / BnF
1924 : Démoli et reconstruit, l’établissement prend le nom de Palais des Glaces, en raison de sa façade entièrement recouverte de miroirs.
1970 : La salle est transformée en salle de music-hall et de concerts. De grands noms s'y produisent dont Nina Simone, Marcel Dadi, Touré Kunda et les Clash...
1980 : Le Palais des Glaces est loué à M. Réville et redevient un théâtre, toujours sous le nom de Palais des Glaces
1988 : Devient une salle de spectacle, surnommé le ‘Temple de l'humour’. le Palais des Glaces s'est spécialisé dans l'humour. Il est devenu une véritable référence dans ce domaine, accueillant les plus grands noms de la scène humoristique française.
2022 : Le Palais des Glaces a connu plusieurs rénovations au cours de son histoire, afin de s'adapter aux normes de sécurité et aux attentes du public. La dernière en date a eu lieu en 2022, offrant aux spectateurs un cadre plus confortable et moderne, tout en conservant l'âme du lieu.
Aujourd'hui : Aujourd'hui, le Palais des Glaces propose une programmation variée, mêlant one-man-shows, spectacles musicaux, pièces de théâtre et autres événements.
Le Palais des Glaces aujourd’hui. Réf. photo: site officiel du Palais des Glaces : http://www.palaisdesglaces.com/
(Réf. certains textes :
sites internet : dutempsdescerisesauxfeuillesmortes / site officiel du Palais des Glaces / jstor.org / Holden's programme : journal spécial hebdomadaire Gallica / Wikipédia)